lundi 12 octobre 2009

Préambule

Un nouveau blog vient de naître. Un autre quidam va raconter le cours de ses pensées. Est-ce nécessaire? Je ne le sais pour vous mais je le tiens nécessaire pour moi.

Depuis quelques temps, disons des mois, je cherche à mettre en ordre tout le corpus de mes idées. J'essaie de trier tout mon savoir. J'ai cru bon de le coucher sur papier (virtuel) et, pourquoi pas, en faire profiter le grand nombre, en espérant que celui-ci y trouve son profit.

Évidemment, ce travail intellectuel aura une part importante de subjectivité (comme si on pouvait un tant soit peu être objectif). Également, je devrai me confronter à d'éventuels commentateurs plus ou moins d'accord avec mes écrits. J'accepte volontiers cette éventualité. Tout comme j'accepte l'insuccès probable de mon projet: absence de visiteurs, arrêt impromptu de cette entreprise par manque de volonté, etc. Bref, je ne promets rien, si ce n'est que d'être fidèle à moi-même (comprenne qui peut comprendre).

Pour finir, pourquoi ce blog s'intitule "Le zélateur"? Parce que je suis un défenseur ardent d'une cause: celle de faire réfléchir les individus. Quand on me connaît, on sait à quel point je peux être un ardent interlocuteur sur une discussion d'intérêt philosophique comme sur des questions purement spéculatives. De plus, je me sens investi d'une mission: celle de stimuler un débat sur un tas de sujets de nature éthique, social, politique, voir anthropologique. Certes, plusieurs le font ou l'on fait, mais il n'y a pas de mal (apparent) à ce que je m'y essaye. Et en prime, si vous êtes sages, je vous égayerai avec des images ou des interludes de mon cru.

P.N.: Cette photographie d'embryon signifie ici (et seulement ici) l'état embryonnaire de ce blog. Comme un embryon, il peut être avorté à n'importe quel instant. D'ailleurs, celui présenté sur cette image est probablement le produit d'un avortement. Oui, ils sont bien beaux ces embryons présentés dans les encyclopédies, mais garder à l'esprit que ceux-ci sont presque exclusivement des avortons.

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